samedi 30 juillet 2011

Enfance.

Dans leurs yeux fusent une multitude d'étoiles. Elles sont toutes là à stagner parmi leurs rêves et à déambuler entre leurs espoirs brisés. Elles croient aux princes charmants ainsi qu'aux fées et demeurent persuadées que la mort ne peut les toucher. La merveille des larmes encadrées, la beauté des choses simples. Le cadeau de la natalité. L'innocence même qui frappe les cœurs et la pureté absolue des corps à jamais disparue avec les aiguilles des montres qui tournent à la vitesse des pneus d'une voiture de course.
Pourtant un jour, il faut grandir.
Pourtant un jour, il faut apprendre que les fondements de l'existence ne sont qu'illusions.


L'enfance, ce fabuleux moment.

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