mercredi 30 juin 2010
Elle avait les yeux bleus, des rêves plein la tête et un sourire au coin des lèvres. Mais pour autant était-elle amoureuse?
Mais voyons, tu sais bien que les histoires d'amour finissent mal.
mardi 29 juin 2010
D'un certain côté, c'est réaliste, mais d'un autre, c'est surtout pathétique.
lundi 28 juin 2010
Parfois, on pense trop mais parfois, ce n'est pas en mal.
Mais ce n'est rien ces restrictions, je regarde le monde, je regarde aussi ma vie mais surtout celles des autres. Elle me touche. J'ai mal, oui, mal de voir que les gens souffrent et qu'on ne peut rien y faire.
Je suis une pacifiste, je hais la guerre, je la hais si fort que si je pouvais faire disparaître une seule chose sur Terre ce serait ça, les combats ne riment à rien, certes des fois, on ne peut les éviter mais quand on voit les ravages d'une bataille n'a-t-on pas mal? N'avons-nous pas honte de voir des hommes s'entretuer pour un territoire, une religion, des opinions différents? Quand on voit tous ces enfants orphelins, ces invalides, ces hommes qui pleurent ne regrettons-nous pas?
N'as-tu jamais eu mal de vivre en voyant les autres n'avoir goût à rien? Moi si, plus souvent que cela n'y paraît, j'ai mal, je n'aimerai pas être à leur place, et si je pouvais les aider, ce serait sans hésiter que je le ferai. Sûrement que plus tard, je m'engagerai dans l'humanitaire, pour aider ceux qui n'ont pas eu la chance de naître avec le bonheur à leurs pieds.
On mérite tous d'être heureux.
Stupidité humaine.
Et elle se présenta sous la forme la plus bancale et affreuse qu'il soit.
Et si nous étions d'éternels insatisfaits?
dimanche 27 juin 2010
Mon ego.
On va commencer par le plus important. Depuis toute petite, ma passion est la même. Ecrire. Poser des mots sur une feuille apparaît pour moi comme essentiel, j'en ai besoin. Ca me libère de tout ce qui ne va pas. Quand j'écris, je me sens revivre, j'oublie tout, j'oublie même que la vie n'est pas toujours rose et que je ne vais pas toujours bien.
Allons maintenant au principal. Delphine, seize ans, lycéenne, futurement en première littéraire après avoir longuement hésité sur son avenir, maintenant elle sait ce qu'elle veut faire. J'avais oublié, je suis imbue de moi-même et j'adore parler de moi au moyen de la troisième personne du singulier. Par ailleurs, j'aime porter des robes, j'avoue que les tenues féminines j'en raffole mais que c'est en converses que je me sens le mieux. Je ne peux pas sortir sans mes trois couches de mascara quotidiennes. J'ai beaucoup de mal d'aimer la vie et si je pouvais recommencer un tas de choses, je le ferai sans hésiter. Je suis sûrement amoureuse mais l'amour est parfois interdit alors on tente de se résigner à oublier mais en vain. Je parlerai peu de ma famille, elle est plutôt éclatée, d'un certain point même détruite, ce n'est pas que je ne l'aime pas, c'est juste que je n'aime pas vraiment en parler devant tout le monde. Sinon, je mets quasiment tout le temps du vernis à ongles, je suis superficielle, je pense davantage à mon apparence qu'au reste mais quand on creuse on s'apperçoit vite que c'est une façade. Je rêve d'être journaliste puis de réussir à publier mes écrits.
La plupart des articles seront des textes sans rapport, il y aura sûrement aussi quelques poèmes. Je viens de débuter une nouvelle histoire, il s'agit d'une nouvelle, je la publierai bientôt sur autre chose, si je la juge intéressante. En attendant, cela me fait toujours un peu bizarre que les gens lisent, j'ai peur, peur de tout en fait, peur que ce que je n'écris ne plaise pas.
Par ailleurs, je tiens à m'excuser pour les fautes d'orthographes. N'hésitez pas à me les signaler si vous le souhaitez, je ne le prendrai pas mal, au contraire.
Sur ce, je dois vous quitter. J'essayerai de publier régulièrement, j'aimerai des avis et des critiques pour progresser. Merci :)
PS: Mes textes sont dans l'ordre dans lequel je les ai écrit, c'est-à-dire du plus ancien au plus récent.
samedi 26 juin 2010
Je me plains trop, oui, je me plains sans cesse de ce qui va mais surtout de ce qui ne va pas. En moi-même, je suis une oxymore.
Mais voyons, tu sais très bien que les histoires d'amour ne riment à rien.
Soyons sérieux. Laissons le flot nous guider chaque matin. Soyons fou. Soyons-nous. Vivons au jour le jour en se rappelant qu’il y aura toujours un demain et que c’est pourquoi l’on se doit de préserver sa santé. Le corps parle si mieux que l’âme. Le corps renvoie ce que le cœur n’avoue pas. Les mœurs, la souffrance, la douleur intérieure. Aimons-nous. Laissons les cons qui veulent nous pourrir sur le banc de touche et profitons de chaque bouffée d’air que l’on inspire. Disons-nous qu’à jamais ça peut-être la dernière. Que tes larmes soient les dernières et que tu retrouves une certaine paix intérieure. Retrouve le plaisir de vivre et tue-toi à être heureuse. Couvre-toi de bonheur. Serre-toi dans ses bras, embrasse-le, regarde-le. Aime-moi tout d’abord. Puis apprends à aimer les autres. Et pour finir, aime le à en mourir.