Et j'écris souvent. Mais pourquoi? A quoi bon se confier quand on se porte bien et qu'on a plus que des niaiseries à ressasser. A force, les textes deviennent pathétiques, inintéressants. A croire que mon talent n'est pas réel et que seule la souffrance le cultive. Suis-je prête à conserver une lourde peine juste pour le plaisir de savoir écrire? Oui, mais ça demeure une passion... Une passion ne peut-elle pas être mise de côté et reprise quelques temps plus tard? Puis, parfois, je me demande à quoi me mènent toutes ces utopies. La plupart des songes sont irréalisables, c'est pourquoi on se contente de les rêver. On se vautre dans un monde imaginaire et on se promène sur de doux nuages. Sauf qu'en bas, on ne reçoit que la pluie. Alors on traîne, on refuse d'accélèrer le pas. On ne désire plus quitter nos pensées, nous aimons fantasmer sur une réalité qui n'a pas lieu d'exister. Le futur nous tend les bras. Loin de toute cette éphémérité et près de toute cette longévité. On souhaite tout changer mais au final, on ne fait rien pour y remédier. On stagne, l'envie passe et repasse.
Le temps décide des passions et réduit à néant les simples élans.
dimanche 28 novembre 2010
vendredi 26 novembre 2010
Le texte est inutile, ceci dit, toi aussi tu ne sers à rien.
Valdinguer nu pieds le long d'une route, se promener sous la neige, marcher sans savoir où aller, avoir les idées brouillées, ne plus être en mesure de penser, filer tel un TGV, partir et fuir, revenir et sourire, envoyer des signaux qui ne sont pas reçus à cause d'un mauvais réseau, émietter son coeur, balayer de nouveaux horizons, chasser les sentiments, poursuivre les émotions, pleurer comme une madeleine, rire avec la naiveté d'une paquerette que l'on cueille le soir même, rejeter la réalité, accroître ses songes, croire en ses rêves, se persuader, admettre ses torts, rechigner, se disputer, remettre en question toutes les traditions, s'efforcer de comprendre, juger, s'énerver, s'époustoufler, reculer, avancer, stagner, étendre les possibilités, relancer la conversation, oublier, aimer comme une dingue, mourir encore et toujours, souffrir, vouloir en finir, se tuer, puis, revivre, renaître, réapparaître, bannir le passé, courir après le temps, chercher l'avenir, découvrir le présent, modifier l'évident, changer le fondamental, exclure l'amant, supplier l'amour, être enchaîné, devenir prisonnier, crier, hurler, se débattre et pourtant le rester.
Court, fun, enrichissant, aphrodisiaque, inintéressant, sans fondement, inutile, drôle, imcompréhensible, invisible, passable, excellent, mauvais, extraordinaire, lassant, expressif, sans concept, pas réfléchi et décevant.
Court, fun, enrichissant, aphrodisiaque, inintéressant, sans fondement, inutile, drôle, imcompréhensible, invisible, passable, excellent, mauvais, extraordinaire, lassant, expressif, sans concept, pas réfléchi et décevant.
samedi 20 novembre 2010
Cette fin baclée et notre amitié ratée.
Nous avons zappé quatre ans de notre vie. Comme ça, comme si personne ne s'en apercevrait. Au fond, ils le remarquaient mais toutes les deux on continuait à s'arracher de l'autre. Ce que j'aimais dans notre amitié c'était que nous ne savions rien contrôler, on ne faisait que s'amuser. Tu n'imaginais même pas à quel point notre relation me manquait. T'étais la pire des salopes. Tu me laissais crever et le lendemain tu venais me repêcher. Cependant désormais, nous ne sommes même plus capables de nous saluer. J'aurais voulu qu'on s'éloigne progressivement ou qu'on ne se sépare jamais. Sauf que toi, tu ne voulais plus de mes petits mots et de mes fous rires incandescents. J'étais persuadée que tu reviendrais, que tu ne me quitterais plus jamais. Je croyais que tu existais grâce à moi. Mais non, c'était l'inverse puisqu'aujourd'hui je ne reste plus qu'une ombre de mon ancien moi. Tu m'as forcée à une évolution qui ne me ressemble pas. J'étais la Delphine d'autrefois quand je sortais sous la pluie avec toi, que je criais et que mes sourires s'enchaînaient. Je devenais ce que j'aimais, aujourd'hui dans quelle direction m'emmènent-ils? A part lui et elles, ils n'y connaissent rien et tu le sais très bien. Demain tu as seize ans et ça va faire un an que de ta vie tu m'as rayée. Je vais bien, très bien même. Sauf que je désire te retrouver. Je souhaite encore frôler toutes les frontières, jouer avec le feu et virevolter à n'importe quelle heure de la nuit. Tu étais plus qu'une amie, plus que l'amour de ma vie. Pourtant je t'ai perdue pour un con qu'aujourd'hui je renie. Tu ne le supportais plus, tu ne me supportes plus. Mais maintenant, je n'ai plus personne. Plus personne pour crier que tu es bonne, pour chanter du n'importe quoi, pour parler de sexe comme un mec en chien, pour imiter les gens qui font pitié, plus personne pour venir avec moi rire. Je me sens seule alors je regarde ton coeur noirci par la boîte dans lequel je l'ai délicatement rangé. Et notre trio transformé en duo qu'en fais-tu? Et tes cadeaux? Et ton amitié éternelle, toutes nos promesses et le reste t'en moques-tu vraiment? Désolée si je ne peux pas. Tu demeures la seule à avoir le droit de me critiquer.
Parce que c'était toi.
Parce que c'était toi.
vendredi 19 novembre 2010
Que voulez-vous que je vous dise?
Je sais très bien que j'ai changé et que la direction que j'ai choisi est mauvaise. C'est inéluctable, il le ressent, il voit que je ne m'amuse plus, que ce que je recherche ne se situe pas dans leurs "délires" à eux. Lui seul connaît la vérité. Pis elle aussi. J'en reviens toujours aux mêmes personnes alors même si tout semble être différent, même si mon attention ne demeure pas aussi forte pour tous, les personnes essentielles à ma vie, je ne les oublie pas et je ne les oublierai jamais. Plus les jours passent et plus je réalise à quel point mon meilleur ami compte à mes yeux. Hier, il restait encore le petit frère, aujourd'hui il me protège et prend la place d'un aîné qui me guiderait.
Elle, c'est pareil. Ils connaissent les moindres recoins de mon coeur, ont fouillé chacune des parties de ma vie, ont pris connaissance de ma douleur et ressentent mon bonheur plus fort que moi-même je ne suis capable de le ressentir. Désormais, je ferme les yeux, je ne veux qu'eux. Leurs jugements? Seuls les leurs m'importent. Qu'en ai-je à faire de ceux des autres qui ne m'ont même pas vu pleurer et qui ne retiennent pas la réalité? Je chute, je tombe, je m'éclabousse, je m'ensevelie, je demeure persuadée que je vais crever, que la fin arrive, accourt à toute allure. Au contraire, elle recule. D'heures en heures elle s'en va. Tout bêtement parce qu'ils sont là. Deux personnes suffisent à me donner la force de vivre. Si je perds la raison, si je fous tout en l'air et que je rate tout ce que j'entreprends, je sais qu'ils seront là pour m'épauler, me sortir d'où je me suis enterrée. Ils me rappelleront ma véritable identité. Oui, c'est vrai qu'au fond, sans eux je ne suis pas grand chose vraiment pas grand chose.
J'ai changé, mon évolution n'est sûrement pas la bonne. J'attends leurs réactions, je suivrai leurs paroles, je boirai leurs conseils. Si eux ne savent plus qui je deviens maintenant alors oui, ça ne sert plus à rien de vivre et de me battre contre ce futur que je rechigne tant et que pourtant je désirais autrefois rapidement.
Elle, c'est pareil. Ils connaissent les moindres recoins de mon coeur, ont fouillé chacune des parties de ma vie, ont pris connaissance de ma douleur et ressentent mon bonheur plus fort que moi-même je ne suis capable de le ressentir. Désormais, je ferme les yeux, je ne veux qu'eux. Leurs jugements? Seuls les leurs m'importent. Qu'en ai-je à faire de ceux des autres qui ne m'ont même pas vu pleurer et qui ne retiennent pas la réalité? Je chute, je tombe, je m'éclabousse, je m'ensevelie, je demeure persuadée que je vais crever, que la fin arrive, accourt à toute allure. Au contraire, elle recule. D'heures en heures elle s'en va. Tout bêtement parce qu'ils sont là. Deux personnes suffisent à me donner la force de vivre. Si je perds la raison, si je fous tout en l'air et que je rate tout ce que j'entreprends, je sais qu'ils seront là pour m'épauler, me sortir d'où je me suis enterrée. Ils me rappelleront ma véritable identité. Oui, c'est vrai qu'au fond, sans eux je ne suis pas grand chose vraiment pas grand chose.
J'ai changé, mon évolution n'est sûrement pas la bonne. J'attends leurs réactions, je suivrai leurs paroles, je boirai leurs conseils. Si eux ne savent plus qui je deviens maintenant alors oui, ça ne sert plus à rien de vivre et de me battre contre ce futur que je rechigne tant et que pourtant je désirais autrefois rapidement.
dimanche 14 novembre 2010
Tes paroles ne traduisent plus rien ...
J'ai envie de dire que je ne suis pas responsable et qu'une fois de plus ce n'est pas ma faute. Sauf que je ne peux pas. J'en ai marre de jouer toujours le bon rôle dans ma tête. Peut-être que je suis coupable de tout ce que tu me fais subir et que tu as des raisons valables de m'avoir nommée bouc émissaire. Sûrement aussi que tu me trouves stupide d'écrire là, ici, sur toi, alors que ça n'y changera rien et que j'écris mal. Je sais que tu le penses. A tes yeux, je reste une ratée, je n'ai plus le droit d'échouer. Tu ne te dis même pas que tu n'es pas la seule à souffrir qu'il soit parti et que je n'ai pas choisi de vivre. Tu ne songes même pas que ma famille n'existe plus. Ce n'est plus vous. C'est eux. Tu pourras toujours railler sur leurs dos, m'affirmer que les amis ne constituent pas un univers comme le nôtre avant, je te rétorquerai que tu as tort. Sans lui, je me serais tirée une balle, sans elle, je serais partie, sans elle ou elle, je me serais ouverte les veines. Tu ne te rappelles même pas que je demeure frêle et que la limite est proche. Seule toi peux me détruire. Personne d'autre n'y arrive. Pourtant, il s'y est essayé, elles aussi. Ils ont échoué.
Certes le lien amical n'est pas le même que le lien familial. Cependant, aujourd'hui, il le surpasse. Tu as foutu en l'air le peu de sympathie qui subsistait. Cet été, tu avais déjà tout brisé. Heureusement, j'avais ces quatre personnes qui donnent un sens à ma vie. Ce ne sont peut-être que des amis mais sans eux, je ne vivrais plus.
Cette fois, tu as été trop loin. Cette fois encore.
Oui, j'en ai marre et je me défoule sur une page internet. Inutile. Diablement inintéressant sauf que tout me saoule, surtout ce qui se produit aujourd'hui...
Certes le lien amical n'est pas le même que le lien familial. Cependant, aujourd'hui, il le surpasse. Tu as foutu en l'air le peu de sympathie qui subsistait. Cet été, tu avais déjà tout brisé. Heureusement, j'avais ces quatre personnes qui donnent un sens à ma vie. Ce ne sont peut-être que des amis mais sans eux, je ne vivrais plus.
Cette fois, tu as été trop loin. Cette fois encore.
Oui, j'en ai marre et je me défoule sur une page internet. Inutile. Diablement inintéressant sauf que tout me saoule, surtout ce qui se produit aujourd'hui...
vendredi 5 novembre 2010
Lettre au passé.
J'ai sûrement du trop lire de blogs où les gens racontaient leurs vies et moi-même je l'ai beaucoup fait pourtant je n'ai jamais été capable d'écrire en toutes lettres ce qui me restait en travers de la gorge, ce qui me perturbait vraiment.
Je suis heureuse. C'est vrai, j'ai tout pour. Sauf toi. Je veux t'écrire, tout te dire, comme si tu étais encore vivant, comme si tu étais avec moi, à mes côtés pour me guider. Je dévore du bonheur mais tu ne le vois pas. Que je réussisse ou que j'échoue, tu n'es plus là. Alors oui, le temps me semble bon actuellement cependant, je ne suis pas habituée à sourire franchement, mais plutôt hypocritement. Le plaisir, l'ai-je connu depuis six ans? Je désire retourner à ce avant. J'exige ton avis, tes conseils, ce que tu penses de mon existence, de comment je la mène, si je vais où il faut ou si, au contraire, je m'égare. Prête à toute entendre. Que m'importe, si ce n'est ton opinion. Auparavant, j'aurais tout faire pour mourir et te rejoindre. Remarque que j'ai évolué, j'accepte de vivre. Je commence même à y prendre goût. Néanmoins, il manque quelqu'un, une présence qui se traduit par une absence. Juste une fois, je rêverais de t'écouter me dire si tu es fier de moi ou si tu as honte de ce que je deviens. Si compliqué et douloureux de ne subsister que pour ta fierté qui n'en est peut-être pas.
Alors, je me bats puisque je ne sais pas. Elle a dit que j'étais guérie mais maman dit qu'on ne guérit jamais vraiment et que la rechute est envisageable. Pourtant, j'y crois à cet achèvement. Crois-tu que j'en ai la force? J'aimerai tant ne plus y aller, me dire que cette époque est terminée, que tout va bien, que ça ne reviendra pas. Tu serais si heureux, si satisfait que je sois forte, que je chasse le chagrin. Sauf qu'oublier s'avère difficile.
C'est pourquoi je pense. Je songe à toi, au temps où je n'avais pas encore dix ans. Je réfléchis et si je souhaite aller mieux, c'est aussi pour elles. Je ne peux plus me permettre de leur en rajouter. Ta perte suffit. Nos coeurs demeurent meurtris, inaptes à prononcer ton nom. Avec les autres, j'en discute, mais avec elles, il paraît y avoir une rupture. Je les aime et c'est pourquoi je me tais. Elles n'ont pas à souffrir davantage, pas à supporter ma souffrance. Elle n'a plus ses lettres, ni ses paroles juste après juin. Non, tu es devenu tabou. Un lourd fardeau. Pardon, excuse-moi de la qualification. Tu mérites tellement plus. Peut-être que sans cet événement tragique, ma vie serait l'opposé d'aujourd'hui. J'essaye de voir le positif dans le négatif. Au moins, j'ai grandi et je connais mes requêtes, je veux réussir. Réussir. Tous les devancer sans les écraser afin que tu sois fier de moi. Je souhaite que d'où tu sois, tu te dises que d'une certaine manière, même si tu es loin, la vie continue et que je suis une battante.
Tu me manques et j'espère ton retour même si on ne revient pas du cimetière, je me demande encore si tu n'es pas parti faire un long voyage et je garde espoir qu'un matin, je te découvre devant la porte à m'attendre pour m'amener loin avec elles.
Si j'écris tout cela et que je le mets ici je crois que c'est parce que je n'ai plus le courage de me confier véritablement à elle. Alors, j'essaye à travers une page internet, qu'elle trouve tout ce que je n'ose plus lui avouer, qu'elle se rappelle que malgré tout, je l'aime plus que tout sur terre et surtout qu'elle se rappelle que contrairement à ceux qui m'entourent, je ne t'ai pas oublié et que je ne t'oublierai jamais.
Je suis heureuse. C'est vrai, j'ai tout pour. Sauf toi. Je veux t'écrire, tout te dire, comme si tu étais encore vivant, comme si tu étais avec moi, à mes côtés pour me guider. Je dévore du bonheur mais tu ne le vois pas. Que je réussisse ou que j'échoue, tu n'es plus là. Alors oui, le temps me semble bon actuellement cependant, je ne suis pas habituée à sourire franchement, mais plutôt hypocritement. Le plaisir, l'ai-je connu depuis six ans? Je désire retourner à ce avant. J'exige ton avis, tes conseils, ce que tu penses de mon existence, de comment je la mène, si je vais où il faut ou si, au contraire, je m'égare. Prête à toute entendre. Que m'importe, si ce n'est ton opinion. Auparavant, j'aurais tout faire pour mourir et te rejoindre. Remarque que j'ai évolué, j'accepte de vivre. Je commence même à y prendre goût. Néanmoins, il manque quelqu'un, une présence qui se traduit par une absence. Juste une fois, je rêverais de t'écouter me dire si tu es fier de moi ou si tu as honte de ce que je deviens. Si compliqué et douloureux de ne subsister que pour ta fierté qui n'en est peut-être pas.
Alors, je me bats puisque je ne sais pas. Elle a dit que j'étais guérie mais maman dit qu'on ne guérit jamais vraiment et que la rechute est envisageable. Pourtant, j'y crois à cet achèvement. Crois-tu que j'en ai la force? J'aimerai tant ne plus y aller, me dire que cette époque est terminée, que tout va bien, que ça ne reviendra pas. Tu serais si heureux, si satisfait que je sois forte, que je chasse le chagrin. Sauf qu'oublier s'avère difficile.
C'est pourquoi je pense. Je songe à toi, au temps où je n'avais pas encore dix ans. Je réfléchis et si je souhaite aller mieux, c'est aussi pour elles. Je ne peux plus me permettre de leur en rajouter. Ta perte suffit. Nos coeurs demeurent meurtris, inaptes à prononcer ton nom. Avec les autres, j'en discute, mais avec elles, il paraît y avoir une rupture. Je les aime et c'est pourquoi je me tais. Elles n'ont pas à souffrir davantage, pas à supporter ma souffrance. Elle n'a plus ses lettres, ni ses paroles juste après juin. Non, tu es devenu tabou. Un lourd fardeau. Pardon, excuse-moi de la qualification. Tu mérites tellement plus. Peut-être que sans cet événement tragique, ma vie serait l'opposé d'aujourd'hui. J'essaye de voir le positif dans le négatif. Au moins, j'ai grandi et je connais mes requêtes, je veux réussir. Réussir. Tous les devancer sans les écraser afin que tu sois fier de moi. Je souhaite que d'où tu sois, tu te dises que d'une certaine manière, même si tu es loin, la vie continue et que je suis une battante.
Tu me manques et j'espère ton retour même si on ne revient pas du cimetière, je me demande encore si tu n'es pas parti faire un long voyage et je garde espoir qu'un matin, je te découvre devant la porte à m'attendre pour m'amener loin avec elles.
Si j'écris tout cela et que je le mets ici je crois que c'est parce que je n'ai plus le courage de me confier véritablement à elle. Alors, j'essaye à travers une page internet, qu'elle trouve tout ce que je n'ose plus lui avouer, qu'elle se rappelle que malgré tout, je l'aime plus que tout sur terre et surtout qu'elle se rappelle que contrairement à ceux qui m'entourent, je ne t'ai pas oublié et que je ne t'oublierai jamais.
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