Mais tu me fais tellement pitié si tu savais comment tu es pathétique avec tes messages qui s'ensuivent. Tu te prétends tout blanc, innocent comme un mouton. De tes conneries, j'en ris. La vérité en aucun point je l'ignore, j'y suis toute ouïe. Tu n'es qu'un con, un bouffon, aucune insulte ne saurait te qualifier, tu n'es même pas humain tant tu es proche de l'animal. Sauf que c'est drôle. Tellement comique de voir un mec de dix-sept s'abaisser et mentir pour tenter de se sauver devant une gamine comme tu la qualifiais qui a seize ans. C'est vrai, c'est moi qui ne fais que parler, c'est encore moi qui n'agis pas. Regarde-toi, après tu dis que je n'assume pas, en attendant, je ne joue pas à l'enfant et ne suis pas sur la défensive au moindre événement. Retourne chez maman. Tu es minable, toi et ton état piteux. Pitoresque et déplorable. Fière au plus au point de ne plus désirer ta présence à mes côtés, de ne plus être à te supplier de venir me voir, de m'aimer. Cette inversion des rôles me plaît beaucoup. Crois-moi, l'amitié tu ne connais peut-être pas, mais la pote que tu as perdue, tu t'en rappelleras. Surtout que je n'ai pas fini de te pourrir l'existence. Je ferai de ton monde le pire des cauchemars. Même si la vengeance, c'est mal, te laisser sortir vainqueur d'un tel combat ce serait un attentat à ma dignité, alors permets-moi de t'en faire baver. Tu ne sortiras pas indemne du calvaire auquel je te conduirai.
Je ne suis pas sadique et méchante dans le fond, c'est juste que toi, c'est l'unique chose que tu mérites.
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